Le risque est présent dans n’importe quel secteur, l’immobilier y compris. Toutefois, force est de constater que dans l’immobilier locatif, lesdits risques sont plus importants et voici quelques exemples des cas les plus fréquents qui peuvent causer la perte de l’investisseur:

Fréquence de fluctuations du marché de l’immobilier

Le marché de l’immobilier lui-même présente un facteur de risque, car tantôt il connaît un gros boom, tantôt il régresse. L’immobilier est tout simplement un secteur à la fois imprévisible et incontrôlable d’où l’utilité de se renseigner sur des sites comme defiscalisationimmobilier.info

La vacance locative, un danger qui guette les investisseurs

Aucun propriétaire n’est à l’abri de la vacance locative, une situation qui impacte directement de manière négative sur la rentabilité du bien. En effet, même un mois de loyer en moins provoque déjà une importante baisse des revenus pour le propriétaire, qui est tenu de payer la taxe foncière et autres charges que son habitat soit occupé ou non par un locataire. Il existe l’assurance vacance locative qui pourra aider les propriétaires a réduire ses frais durant cette période difficile. L’assurance vacance locative intervient lorsqu’il y a une période de vide locatif (entre deux locataires) ou également quand un locataire part précipitamment ou expulsé.

Des problèmes avec le locataire

La relation propriétaire-locataire est rarement au beau fixe. Plusieurs éléments peuvent en effet, être à l’origine de conflits entre les deux entités à ne citer que les éventuelles réparations à effectuer sur le logement. Bon nombre de locataires n’hésitent pas non plus à recourir à des ruses malveillantes telle la dénonciation de malfaçon, dans l’objectif de ne pas payer leur loyer. Ce type de situations peuvent souvent conduire à des dépenses importantes surtout si elles nécessitent l’intervention d’un huissier ou parviennent devant les tribunaux.

Le risque d’impayés

Tous les investisseurs immobiliers connaissent le risque d’impayés. En effet, les mauvais payeurs justifient de leur existence un peu partout et tous les propriétaires sont donc susceptibles de tomber sur l’un d’entre eux. Le pire est qu’il est très difficile de faire déguerpir les mauvais payeurs, ainsi jusqu’à son départ le propriétaire aura à subir une perte financière conséquente.

La dégradation du bien

Au fil des années, le bien immobilier peut succomber aux effets de l’usure. Mais il peut également arriver qu’un locataire peu soigneux accélère sa dégradation. Les catastrophes naturelles telles les inondations peuvent aussi être des facteurs de risque non négligeable en matière de dégradation du bien.

Toute dégradation ou destruction volontaire d’un bien (mobilier ou immobilier) constitue une infraction pénale.

Dans le cas d’une dégradation par négligence, le locataire est dans l’obligation de procéder aux travaux de réparations locatives pendant toutes la durée du contact. Les dégradations par négligence peuvent être : trous ou tâches sur les mûres, fenêtre cassée, parquet abimé….

Dans le cas d’une dégradation par vétusté, les dommages restent a la charge du propriétaire. Les dégradations par vétusté peuvent être : peinture dont la couleur a passé au fil du temps ou revêtement de sols abimés.